Nous étions des Avatars nous sommes devenus des Dieux
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 Poésie - Déboires d'un Elf

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Elensar
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Elensar


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MessageSujet: Poésie - Déboires d'un Elf   Poésie - Déboires d'un Elf Icon_minitimeMer 17 Jan - 15:40

Par une douce nuit d'été
alors qu'Aethis de sa quête rentrait
bredouille comme à chaque fois
quand il le vit,de marbre resta
Voir un nain nu est source d'effroi !
Ce nain sortait des bois
avec ses armes sous le bras
il ne craignait point le froid

L'efle s'enfuit en courant
car il avait perdu sa maman
Ainsi se passa leur rencontre.
Le nain regarda alors sa montre

"Il est l'heure de l'apéro"
Il se dirigea vers le bistrot
et commanda un demi pression
Une naine attira son attention
"bonjour ma belle !" dit-il
elle fronça les sourcils ...

'Mais quel est ce personnage ?'
qui sort du fond des ages
'Que me veut tu?'
"ton nom, rien de plus..."
Commence donc par te présenté!
"je suis Durnik, enchanté"

*Vlam!* Dans le bistrot Aethis entra
Sur la première marche il trébucha...
Fort adroit l'elfe se rattrapa
et l'air de rien il s'approcha

mais la honte pesait sur lui
Les gens riaient sans bruit
du nain qui venait de vomir !
et qui se préparait à partir
Quand Aethis l'interpella :

et toi là bas!
Que fait-tu ainsi ?
Tu devrais resté assis
et écouter ce que je vais te dire !
sans pour autant me maudire

"Je suis le Fléau des nains.
Tu ne verras pas demain...
A ces paroles Thorg trembla
Mais, brave, il se releva
et demanda à l'elfe miséricorde
genou a terre! et je te l'accorde!

mais fort courageux était ce nain,
son courage il prit à deux mains
et dit :"Pitié maitre elfe !"
"Vous me semblez bien petit pour un elfe"

A ces mots, Aethis lui coupa la barbe.
Le nain évita et sortit sa hallebarde
Le tavernier s'inquièta vivement
Et s'interposa calmement
alors Aethis renguena son arme,
et versa une larme

Au tour du nain de rengainer
de toute façon il est bourré.
Allons messieurs il faut se calmé!
tout ceci ne rime a rien
Aller, serrez vous la main !

Plutôt aller dans la Moria que lui serrer la main
et le nain lui remit un pain !
Aethis tapa alors du nain !
L'aubergiste s'interposa en vain
Aethis se devait d'accomplir son destin

Il tourna donc les talons et s'enfuit
Il venait d'entendre un nazgul dans la nuit.
Ainsi, le nain resta seul en ces lieux.
Il n'avait pas le destin d'un élu des dieux.

Jamais ils ne se revirent
Mais ce ne fut pas le pire .
Thorg avait eu peur de l'elfe ire
Et ne savais que dire
Car il ne voulait pas mourir
mais plutot se faire plaisir

L'elfe continua sa vie de son côté
Il ne fut pas toujours aidé
mais il réalisa sa grande destinée !
retrouvé des moutons volés
Par un ogre mangeur de moutons
Qui adorait les bonbons

Mais jamais il ne le trouva
bien des jours il pleura
mais se lamenter ne sert à rien
car il allait un jour sauver le Bien.
De son bras bénit, il sauverait les siens
et ferait disparaître la race des nains !

Alors qu'il essayait de réflèchir
Son frère le pria de venir
Pour lui dire ces mots
écoute fréro, tu n'as vraiment pas le niveau
mais tu aura toujours ta place
que se soit dans la rue ou dans un palace
alors ne fait pas la tête
Et retire cette aire bête
car on dirait un court-sur-patte !
chevauchant sur son mille pattes
oui ça, ça m'épathe!
aller, viens avec moi traîne savate

s'il te plais il faut que tu te hate
Car je fait cuir des pattes
Car tu es lent
et pas bien méchant
il s'en allait avec beaucoup d'allant
les cheveux dans le vent
tout en galopant
au bruit macabre d'un hénissement
sur son cheval au crins blanc
Aethis était vraiment un géant !
vraiment que lui il n'y a pas plus grand!

les deux elfes prierent un bateau
pour rejoindre l'île d'Esthesio
il y arrivèrent un soir
alors que la nuit était noire
sur cette île abandonnée
il aimait se pavoiser

Mais c'est alors que survint
le crane chauve divin
D'un sage parisien...
habillé tout de satin

Il lui tint alors ce langage :
qui portait un message de rage.
Que fait tu ici ?
et où est ton frère petit ?
en voyage sur Argelas
que veux-tu que j'y fasse...

allez à la taverne doré
là vous le trouverez
Un unijambiste alcoolique
se vantant de tout son fric
Mais qui offre des coups à boire
en racontant des histoires
à tous ces nains guerriers
qui aimaient rigoler
et tous ensemble s'amuser
en priant devant notre divinité
tout les soirs avant de mangé
un hot dog dans leur tannière éclairée
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